Martine, en Mère courage, la faisait participer aux activités de l'Aphra, gouter de Noel, sortie d'été, pique-nique à Savigny, grâce à son fauteuil électrique ultra -perfectionné.

J'avais remarqué que tout le monde, alors, s'occupait d'elle. Deux fois je l'ai prise par la main, essayant de lui donner un peu de Bonheur...

La perte d'un être , de surcroit atteint dans sa chair, est irrémédiable, on a beau essayer de rassurer ceux qui restent par de belles paroles, rien n'y fait...

Avant la célébration de Savigny, il me vient à l'esprit le  début des Béatitudes :

Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.

pour ceux qui souhaitent témoigner : Anaïs (lien)